en famille
jeudi 16 juillet 2015
mercredi 15 juillet 2015
Foratata - les cendres de la Grèce
Entre 2 soirées arrosées aux fêtes de Mauléon, je me libère avant les vacances pour aller grimper une voie ouverte en juin. J'avais repéré la belle dalle de départ en descendant des "perfs du perf" et j'avais vu des fissures au dessus à droite. Après avoir ouvert 2 longueurs, j'ai été déçu en arrivant aux fissures (qui étaient en fait des cheminées). Elles étaient herbeuses et en caillou moyen. par contre, une belle dalle à gauche s'annonçait magnifique. J'ai donc équipé cette dalle qui aura tenu ces promesses et j'ai rajouté quelques spits sur le bas pour en faire une voie équipée.
La voie est à l'ombre le matin et passe facilement à la demi-journée. Une alternative intéressante avec les chaleurs de cet été.
Bravo à Jean Mi qui aura tout enchainé à vue (et décoté la plupart des longueurs par rapport à ce que j'imaginais à l'ouverture).
Le titre est en rapport avec la politique de la terre brulée de nos chers financiers qui demandent toujours plus d'austérité au peuple grec, sans jamais renégocier sa dette insoutenable. Ceci aura généré une discussion animée avec mon compagnon de cordée, moins gauchiste que moi...
Le topo
L1
L2
L3
Jean Mi enchaine L4, la plus belle longueur de la voie
L5
La voie est à l'ombre le matin et passe facilement à la demi-journée. Une alternative intéressante avec les chaleurs de cet été.
Bravo à Jean Mi qui aura tout enchainé à vue (et décoté la plupart des longueurs par rapport à ce que j'imaginais à l'ouverture).
Le titre est en rapport avec la politique de la terre brulée de nos chers financiers qui demandent toujours plus d'austérité au peuple grec, sans jamais renégocier sa dette insoutenable. Ceci aura généré une discussion animée avec mon compagnon de cordée, moins gauchiste que moi...
Le topo
L1
L2
L3
Jean Mi enchaine L4, la plus belle longueur de la voie
L5
dimanche 12 juillet 2015
Ordesa - Azken guda dantza
J'avais quelques projets au libro abierto à Ordesa mais Jean Michel avait peur qu'on ait trop chaud. En avant donc pour la Fraucata, une des grandes parois à l'ombre des pyrénées ce qui n'est pas négligeable ces temps ci. Je propose Azken guda dantza, une voie de zabalza et Cie, mais surtout un album mythique de kortatu sur lequel pratiquement tous ceux qui ont mon âge ont fait les bourrins dans les baloches du coin (même si moi, je préférais Itoiz (avec mon physique ingrat, c'était plus facile pour emballer...)).
On part tranquille mais on doit vite se reconcentrer devant la qualité du rocher "Fraucata" et la quasi absence de matériel (un seul relais en place dans la voie et aucun point de progression à demeure). on a un peu cherché et on a probablement parfois fait quelques infidélités à l'itinéraire original. La voie dans son ensemble est donc bien sympa (une des rares de la Fraucata où, m'a t'on dit, le caillou demeure assez acceptable) mais à ne pas sous estimer (même si, dans l'ensemble, les cotations nous ont parues assez gentilles pour Ordesa).
Une bonne journée avec Jean Michel, bien gachée au retour après avoir découvert qu'on m'avait piqué mon sac( pourtant à moitié déchiré...) et mes batons que j'avais planqué (pas assez bien visiblement) à proximité du pont de la cascade du cotatuero. Ca prouve qu'il y a probablement le même taux de cons chez les montagnards qu'ailleurs...
La face
L2
A la sortie du 6c
Plus haut
6c+
Du super beau caillou sur le haut mais c'est pas très long malheureusement
On part tranquille mais on doit vite se reconcentrer devant la qualité du rocher "Fraucata" et la quasi absence de matériel (un seul relais en place dans la voie et aucun point de progression à demeure). on a un peu cherché et on a probablement parfois fait quelques infidélités à l'itinéraire original. La voie dans son ensemble est donc bien sympa (une des rares de la Fraucata où, m'a t'on dit, le caillou demeure assez acceptable) mais à ne pas sous estimer (même si, dans l'ensemble, les cotations nous ont parues assez gentilles pour Ordesa).
Une bonne journée avec Jean Michel, bien gachée au retour après avoir découvert qu'on m'avait piqué mon sac( pourtant à moitié déchiré...) et mes batons que j'avais planqué (pas assez bien visiblement) à proximité du pont de la cascade du cotatuero. Ca prouve qu'il y a probablement le même taux de cons chez les montagnards qu'ailleurs...
La face
L2
A la sortie du 6c
Plus haut
6c+
Du super beau caillou sur le haut mais c'est pas très long malheureusement
lundi 6 juillet 2015
Anso voie hipnosis et foratata voie Dilé
La météo actuelle incite plus à aller dans l'eau qu'à toucher le rocher. Du coup, peu de grosses sorties ces temps ci : un peu de couenne à l'ombre au menu entre 2 baignades, la réalisation d'une voie dure équipée dont je reparlerai dans un prochain message et 2 autres sorties dont je parle ici :
Une petite ouverture de voie à la foratata - Dilé avec l'incombustible Robert. Je pensais faire une ouverture facile mais nous sommes tombés sur 10m bien difficiles dans un dièdre. Raté donc. Le rocher est très sympa sur la première et la dernière longueur et moins beau sur la 2ième et 3ième.
Nous sommes également partis hier avec Fabrice à Anso, dans ce paysage que j'aime tant, pour grimper une voie à l'ombre de Picazo sur le très beau tozal de espelunga : hipnosis. La voie est sympa, moins que la proche Urdaburu mais plus que sa voisine freelander. Un bémol cependant : les points à demeure sont souvent mal placés pour le libre au dessus du 6a, obligeant parfois à faire des choix : soit les sauter pour enchainer, soit les prendre et tirer au clou. Mention spéciale pour les 20m en Ao qui auraient probablement été en grande partie libérables en passant quelques mètres plus à droite au lieu de monter droit au dessus du relais.
L'éperon d'hipnosis, entre ombre et soleil
L1
Free climbing from basque country
Fin de voie
Le topo de Dilé
L1, dans la partie difficile du dièdre
L2 (pas de photos de la suite : plus de batterie)
Une petite ouverture de voie à la foratata - Dilé avec l'incombustible Robert. Je pensais faire une ouverture facile mais nous sommes tombés sur 10m bien difficiles dans un dièdre. Raté donc. Le rocher est très sympa sur la première et la dernière longueur et moins beau sur la 2ième et 3ième.
Nous sommes également partis hier avec Fabrice à Anso, dans ce paysage que j'aime tant, pour grimper une voie à l'ombre de Picazo sur le très beau tozal de espelunga : hipnosis. La voie est sympa, moins que la proche Urdaburu mais plus que sa voisine freelander. Un bémol cependant : les points à demeure sont souvent mal placés pour le libre au dessus du 6a, obligeant parfois à faire des choix : soit les sauter pour enchainer, soit les prendre et tirer au clou. Mention spéciale pour les 20m en Ao qui auraient probablement été en grande partie libérables en passant quelques mètres plus à droite au lieu de monter droit au dessus du relais.
L'éperon d'hipnosis, entre ombre et soleil
L1
Free climbing from basque country
Fin de voie
Le topo de Dilé
L1, dans la partie difficile du dièdre
L2 (pas de photos de la suite : plus de batterie)
Inscription à :
Articles (Atom)