Le soir, je retrouve Mertxe, Robert et Michel. Robert, malgré 30 ans de montagne et plusieurs 8000, n'est jamais venu à Monrebey. Nous partons donc dans la delfos qui offre une belle escalade 100% plaisir même si on n'a pas la sensation de vide qu'offre la plupart des autres voies du secteur. Qu'à cela ne tienne, nous rencontrerons des gens qui grimpaient en même temps que nous au pilier des vautours (soit à pas loin d'un kilomètre) qui nous assureront avoir entendu Robert faire son légendaire cri du cochon qui pend. Mertxe, quant à elle, assurera à la sortie ne plus vouloir grimper qu'en traversées tellement elle y a pris du plaisir. Michel assurera malheureusement comme un chef toute la voie, m'empêchant de trop dire de mal de lui.
Ce lundi, nous mettons pas mal de temps à nous décider. vu l'heure, nous optons finalement pour une journée couennes à santa anna, un joli secteur où je n'étais encore jamais allé.
Finalement, le week end aura été moins physique que prévu mais nous nous serons fait bien plaisir. C'est finalement ça qui compte le plus en escalade. Putain, j'arrête; robert déteind sur moi avec sa convivialité...
Le défilé, toujours aussi beau.
L'aiguille de Monrebey
La première voie que nous avons faite sur l'aiguille, entre cien anos de soledad et poble nou
Vue depuis le sommet de l'aiguille
Mickael repart dans "cien anos de soledad"
Au premier relais dans une grotte
Puis dans L2
Le départ caractéristique de la Delfos
Mertxe, tout sourire, dans une des nombreuses traversées de la voie
Une cordée de catalans devant nous
Une cordée grimpe à notre droite (probablement la voie del tronko)
La pluie arrive
La paroi d'aragon pendant la descente