Le parti pris des ouvreurs de ne pas mettre de spits font que toutes les longueurs présentent au moins un passage plus ou moins exposé où la chute est souvent interdite, d'autant plus qu'au moins la moitié des pitons bougeaient (heureusement, nous avions pris un marteau ). Si vous ajoutez à cela des cotations parfois serrées, même pour l'ossau, la voie est beaucoup plus sérieuse que ne le laisse penser le topo. C'est le genre de voie que l'on préfère avoir fait qu'avoir encore à faire.
Vous avez compris, on n'a pas couru. On était parti bien tard en se disant que la voie était courte, et du coup on est pas vraiment rentré tôt. Le coin, lui, reste toujours aussi beau. Et puis, entendre à nouveau Michel râler reste toujours la garantie d'une bonne journée!
Michel en début de voie : c'est déjà bien compact!
Début de L3
Dans le 6b du haut, au niveau du pas d'artif, avant un passage bien dur!
30s plus tard, michel a volé (ou plutôt s'est laissé penduler pour ne pas se faire mal) : seule solution, remonter sur la corde fixe.
Dernier 6a sur le thème de la journée : des friends plus ou moins bons à poser sur des dalles
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