vendredi 10 février 2012

Une autre cascade ouverte à Larrau

Alors que certains ont choisi de travailler, j'ai posé la journée pour aller grimper une nouvelle cascade à coté de celle de mercredi. On aura pu noter aujoud'hui le retour du boss (alias Michael) après son accident de l'an dernier en cascade à Canfranc. Pendant que certains hibernent en attendant des jours meilleurs, c'est l'inverse pour lui : il se réveille à chaque vague de froid.

Robert, lui, nous accompagne comme toujours. Il me fait penser aux vieilles 4L que l'on voit encore de ci, de là en soule : il n'y a plus que le moteur qui est bon et tous les accessoires partent en lambeau. On sait qu'un jour, elle va claquer et qu'il faudra l'amener à la casse mais on l'utilise tant qu'elle tourne encore un peu et que le prix de l'assurance n'est pas trop cher.

La cascade convoitée fera seulement 60m mais s'avèrera bien soutenue (du 5+ en glace, je pense) et magnifique. Au retour, on aura le temps de boire 2 bières avant d'aller chercher les gosses à la sortie de l'école (sauf pour le vieux bien sûr).L'avantage avec les ouvertures à la maison, c'est qu'on peut se lever relativement tard et rentrer tôt!

La cascade


Votre serviteur dans ses oeuvres : Robert affirme que c'est parce que le photographe est bon. Je pense plutôt qu'il a un bon modèle!


En haut, Robert est content


Mickael fait un peu de moulinette sur le bas de la cascade avant de rentrer

3 commentaires:

  1. Une bonne "4L" conduite de mains de maître,à qui certes il manque quelques bouts dans la carrosserie mais qui a pas mal vadrouillée vue l'âge, n'est-elle pas meilleure qu'une voiture dernier cris conduite par un pilote made in "Landes land" auquel au premier pet double ou triple de volume dans sa partie arrière. De plus ces dernières voitures consomment pas mal, font beaucoup de bruits et tiennent ensuite peu la route.
    Moins de fougue avec les vieux modèles, mais ils sont toujours là !
    C'est comme en politique il faut toujours faire de la Résistance... et toujours dans la bonne humeur si ... tu me paies une bière.

    Robert

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